Il importe de bien connaître nos résignations en matière de violence, de responsabilité et de liberté de décision : c’est-à-dire et de manière inverse quelles sont les légitimités diverses des objets, des récepteurs des délégations de toutes natures que nous sommes amenés à pratiquer.
Car rien, jamais, ne fondera le droit du droit : la légitimité bien en amont de celui-ci est ou n’est pas, elle ne se « fonde » pas.
Pas plus que rien ne prouvera jamais – mise en abyme similaire – que signifier puisse, en soi, avoir un sens ou mieux, même, que l’existence du sens ait un sens.
Ainsi sans la légitimité le droit n’a aucun droit de cité et c’est chose bien frivole que de s’en prétendre ou le défenseur ou le dépositaire.