On comprend que le concept ait pu fasciner. On a voulu y voir une utopie, un lendemain qui chante. Tel n’est pas le cas. Elle existe bel et bien à chaque fois qu’un tyran parvient au pouvoir. En effet, sous le tyran , une seule classe : le peuple. Sous le maître une seule classe : les adeptes. Sous l’ayatollah, le gourou, le pape de ceci ou la papesse de cela : une seule classe les fidèles. Sous Napoléon, sous Hitler, sous Pinochet, sous Lenine et épigones : une seule classe.