Le monde, fou de morgue, de prétendue efficacité, de vitesse et de rentabilité se dotera d’ilôts de rêverie, de lenteur, de réflexion paisible, non-affairée.
L’éloge tapageur de l’action permanente, du raffut, de la compétition, de la croissance, de la fébrilité conduit déjà à la stérilité, à l’angoisse, et à la détresse.
Ainsi les vortex, qu’on les approuve ou non, vont-ils se constituer.